Le 1er novembre 2017, jour de la Toussaint, je n’avais pas prévu d’activité. Une insomnie matinale et une météo fraîche mais ensoleillée annoncée m’ont tiré du lit pour discrètement préparer mon matériel de chasseur à l’arc et prendre la direction de la forêt.
Je commence à bien connaître le biotope de ce village des Yvelines où je fais ma deuxième saison de chasse au fusil et à l’arc ; et alors que mes chances de succès à l’affut sont compromises dès le début par la fuite d’un renard à 25 mètres de moi qui fait lui-même partir un groupe de chevreuils qui étaient dans le secteur, je me dis que ça s’annonce compliqué.